Levens est une petite ville française, située dans le département des Alpes-Maritimes et la région de Provence-Alpes-Côte d'Azur. la ville de Levens est le chef-lieu du canton. Ses habitants sont
appelés les Levensois et les Levensoises.
La commune s'étend sur 29,9 km² et compte 4 466 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2006. Avec une densité de 149,6 habitants par km², Levens a connu une nette
hausse de 20,7% de sa population par rapport à 1999.
Ce sera notre balade du jour....
On donne habituellement trois explications possibles à l’origine du nom de Levens :
Rafraîchissement à la Fontaine de 1873
Le village est bâti à environ 25 km au nord de Nice sur une éminence rocheuse de calcaire jurassique ; il culmine à 600 m d’altitude au-dessus du confluent de trois cours d’eau : les deux rivières Estéron et Vésubie, et le fleuve côtier Var.
Agate fasse à un chat
Le pauvre, il a eu peur...!!!
Le village actuel est bâti autour de l’ancien château féodal élevé vers l’an 900 par les comtes de Provence. La première église de Levens se trouve à Notre-Dame-des-Prés. Le Chartrier de l’abbaye de Saint-Pons hors les murs indique que ce prieuré existe déjà en 1075 lors de sa restitution par la famille seigneuriale de Nice à l’abbaye de Saint-Pons, qui le conserve jusqu’à la Révolution. Quelques années plus tard, le monastère de Saint-Pons devient le possesseur du fief de Levens, qu’il garde plus de 150 ans .
Les chevaliers de l’ordre du Temple établissent leur commanderie à Notre-Dame-des-Prés, après l’accord vers 1135 entre le pape et l’empereur , alors suzerain de la Provence. La crypte de cette commanderie templière témoigne de sa prospérité. Dans la cour existe encore l’auge en pierre percée d’un trou. Une tradition locale non vérifiable affirme qu’elle servait de mesure aux céréales de la dîme.
Ils élèvent, près du sommet du mont Férion, une chapelle dédiée à l’archange saint Michel et dotée d’un campanile. Une autre légende locale tout aussi fantaisiste affirme que la chapelle a remplacé un autel au dieu Mars. Le campanile aurait servi à alerter les populations des vallées de Levens et de Contes en cas d’incursion sarrasine .
Charles II d’Anjou fait arrêter tous les Templiers du comté de Nice en 1307, en vertu d’ordres reçus du roi de France Philippe le Bel, et leurs biens sont confisqués. Notre-Dame-des-Prés reste longtemps une source de différends entre les abbés de Saint-Pons et les prieurs de l’église paroissiale Saint-Antonin .
À partir de 1112, Levens et la Provence sont sous la dépendance des comtes de Catalogne après le mariage de Raimond-Bérenger III de Barcelone avec Douce de Provence, héritière des comtes de Provence. Puis ils passent sous la coupe des Capétiens d’Anjou lors du mariage de Béatrice de Provence avec Charles Ier d'Anjou en 1246.
La Chapelle des Pénitents Blancs
Au coin de la poste Sculpture de J.-P. Augier.
Linteau de 1591 à Levens : « Paix à cette maison et à tous ses habitants ».
Au détour d'une ruelle, un clin d'oeil à ma soeur Rénata
Sur le chemin du retour une vue sur le village " La Roquette sur Var"
Les armoiries de Levens commémorent sa libération de la tutelle seigneuriale des Grimaldi en 1621 : un coq rouge représentant le peuple se dresse fièrement en plein soleil sur la pierre du boutàu symbolisant « le ventre du seigneur ». La hallebarde était jadis l’insigne des gouverneurs du comté et des capitaines de la milice. Associée à l’inscription « Libertas 1621 », elle rappelle que Levens devint « comtesse d’elle même ».