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Mes Balades en France
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Un week-end à Lyon

Un week-end à Lyon

Un week-end à Lyon

Se promener sur le site historique de Lyon, c'est flâner à travers le temps, depuis sa fondation en 43 avant J.-C. jusqu'à nos jours. La ville a gardé des traces permanentes et continues des périodes qui ont marqué son histoire.

Un week-end à Lyon

Lyon, ville française de la région historique Rhône-Alpes, se trouve à la jonction du Rhône et de la Saône. Son centre témoigne de 2 000 ans d'histoire, avec son amphithéâtre romain des Trois Gaules, l'architecture médiévale et Renaissance du Vieux Lyon et la modernité du quartier de la Confluence sur la Presqu'île. Les Traboules, passages couverts entre les immeubles, relient le Vieux Lyon à la colline de La Croix-Rousse.

 

D’abord on commence par faire un saut au Pavillon du Tourisme, place Bellecour, pour demander un plan, recueillir quelques précieux conseils, 

Place Bellecour
Place Bellecour
Place Bellecour
Place Bellecour
Place Bellecour

Place Bellecour

Puis on salue au passage la statue équestre de Louis XIV (il monte à cru, comme les empereurs romains !) et on traverse la Saône, en suivant des yeux la colline de Fourvière, notre 1ère étape !

 

La basilique de Fourvière

La basilique Notre-Dame de Fourvière surplombe la ville de Lyon depuis le sommet de la colline de Fourvière depuis la fin du xixe siècle.

Elle est construite à peu près sur l'emplacement de l'ancien forum de Trajan Forum vetus, (hypothèse étymologique la plus probable pour le nom actuel de Fourvière). Sur cet emplacement est institué au milieu du Moyen Âge un culte à saint Thomas de Cantorbéry puis, rapidement, à la Vierge. Ce double culte se concrétise avec la construction d'un lieu de dévotion, la chapelle Saint-Thomas. À la suite d'un vœu prononcé en 1642 pour éloigner une épidémie de peste de Lyon, un pèlerinage annuel se constitue. Au XIXème siècle, à l'initiative du Cardinal de Bonald, une statue d'or de Marie est érigée sur le clocher rehaussé et renforcé de la chapelle et la proposition de construire une basilique est acceptée, à la fois pour accueillir des visiteurs de plus en plus nombreux et en remerciement pour la protection de Lyon durant la guerre franco-allemande de 1870.

Son architecture de style néo-byzantin ou romano-byzantin est l'œuvre de Pierre Bossan, lequel, obligé de superviser le chantier de loin pour raisons de santé, délègue une grande partie de l'exécution de l'œuvre à Louis Sainte-Marie Perrin. L'architecture très particulière de l'édifice lui vaut de nombreux admirateurs, mais aussi de très vives critiques.

La visite commence très fort, car on emprunte la

Montées des Carmes-Déchaussés et Nicolas-de-Lange

Deux « montées » en escaliers (la première comportant 238 marches, la seconde 560) permettent d'atteindre la tour métallique de Fourvière depuis la place Saint-Paul.

  

 

 La basilique édifiée à partir de 1872 pour remercier la Vierge d’avoir épargné à Lyon l’invasion prussienne en 1870.
 La basilique édifiée à partir de 1872 pour remercier la Vierge d’avoir épargné à Lyon l’invasion prussienne en 1870.
 La basilique édifiée à partir de 1872 pour remercier la Vierge d’avoir épargné à Lyon l’invasion prussienne en 1870.
 La basilique édifiée à partir de 1872 pour remercier la Vierge d’avoir épargné à Lyon l’invasion prussienne en 1870.
 La basilique édifiée à partir de 1872 pour remercier la Vierge d’avoir épargné à Lyon l’invasion prussienne en 1870.
 La basilique édifiée à partir de 1872 pour remercier la Vierge d’avoir épargné à Lyon l’invasion prussienne en 1870.
 La basilique édifiée à partir de 1872 pour remercier la Vierge d’avoir épargné à Lyon l’invasion prussienne en 1870.
 La basilique édifiée à partir de 1872 pour remercier la Vierge d’avoir épargné à Lyon l’invasion prussienne en 1870.
 La basilique édifiée à partir de 1872 pour remercier la Vierge d’avoir épargné à Lyon l’invasion prussienne en 1870.
 La basilique édifiée à partir de 1872 pour remercier la Vierge d’avoir épargné à Lyon l’invasion prussienne en 1870.

La basilique édifiée à partir de 1872 pour remercier la Vierge d’avoir épargné à Lyon l’invasion prussienne en 1870.

Marcher sur les toits de la basilique avec Lyon à vos pieds. Tutoyer les nuages et admirer un panorama à couper le souffle. Faire la visite insolite, c’est partager un moment unique et porter un regard différent sur la basilique et son histoire.

 

Magnifique basilique qui trône au dessus de Lyon, avec son archange Saint-Michel. Aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur la basilique est impressionnante avec des décors magnifiques. Même la crypte est intéressante.
Un monument historique incontournable de la Ville de Lyon visible même de loin.

Plus de deux millions de visiteurs « montent » chaque année à Fourvière, d’où ils découvrent un panorama unique qui va de Lyon au Mont Blanc. Un des sanctuaires et des sites touristiques les plus fréquentés de France. La basilique fait partie du site lyonnais inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.

Intérieur de la Basilique

L’intérieur de la basilique de Notre-Dame de Fourvière se compose de deux églises superposées, aux volumes extraordinaires, accessibles par le parvis. L’église haute est dominée par trois coupoles et éclairée par six vitraux qui offrent une lumière mettant en avant un décor riche. Les matériaux utilisés pour la construction et la décoration rivalisent de qualité et de beauté, marbre blanc de Carrare, granit rose du Nord de l’Italie, marbre bleu de Savoie, onyx vert, éclats de l’argent et de l’or, mariage de l’ébène et de l’ivoire.

Un week-end à Lyon
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L’autel  est surélevé de huit marches.  Dix anges ailés sur mosaïque d’or entourent le tabernacle. Au-dessus, trône une statue de la Vierge Marie , œuvre de  Millefaut, en marbre de Carrare.  L’abside éclairée par sept hautes verrières est ornée de cinq vitraux d’après les cartons de Gaspard Poncet.  Les autres vitraux  sont, pour les six principaux, l’œuvre de Décote, élève de Gustave Moreau .

 

Les  6 mosaïques murales ont été réalisées d’après les cartons de Charles Lameire et exécutées magnifiquement par les ateliers Martin de Paris. On peut voir Jeanne d’Arc délivrant Orléans, l’arrivée de Saint Pothin à Lyon, le Concile d’Ephèse,  le vœu de Louis XIII, la Bataille de Lépante, la proclamation du dogme de l’Immaculée Conception.

 

La crypte

Depuis l’église supérieure on accède à  la crypte (église basse) par  un escalier de marbre rouge, chef d’œuvre de Sainte-Marie Perrin, à double révolution.  Du palier on peut accéder à la chapelle de la Pietà.

On pénètre alors dans un lieu sombre, impressionnant  qu’est cette vaste chapelle consacrée à Joseph. Ce lieu est  défini comme étant celui qui symbolise l’Ancien Testament et l’ignorance des hommes avant  la venue du Christ. On comprendra ainsi pourquoi  Pierre Bossan voulait en faire un passage obligé des pèlerins pour accéder enfin à l’église haute baignée de lumière,  où l’ampleur du décor et la polychromie sont saisissants.

Ces voûtes, qui ont moins de 10 m de hauteur sont soutenues par des piliers cannelés  flanquées de trente huit colonnes également cannelées. Des anges  supportent les retombées des voûtes.  Sept verrières éclairent le sanctuaire. Les trente stalles de l’avant-chœur sont en chêne sculpté, incrusté  d’ébène et d’ivoire.

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Au pied de la colline, le vieux Lyon, quartier médiéval et Renaissance, s’étend de Saint-Georges (au sud) à Saint-Paul (au nord), en passant par l’incontournable cathédrale Saint-Jean. A elle seule, elle présente un éventail de toutes les périodes successives de la fin du roman au gothique (du primitif au rayonnant jusqu'au flamboyant !). Promenez-vous dans ce quartier plein de charme en empruntant quelques traboules. Vous découvrez au passage de magnifiques cours intérieures avec galeries à l’italienne, puits et tours-escaliers en colimaçon…

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Les Traboules

Les traboules lyonnaises sont des passages aménagés entre deux rues à travers des cours d'immeubles. Elles ont rendues de grands services à la population pendant le 2ème guerre mondiale et lors de la révolte des canuts.

On compte plus de 300 passages répartis dans la ville, principalement dans les quartiers de la Croix-Rousse et du Vieux-Lyon. Les premières traboules, aménagées au 4ème siècle, étaient utilisées par les habitants pour se ravitailler en eau, d'autres datent de la Renaissance.

Parcours des traboules

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A la Renaissance, son apogée, les quartiers sont organisés autour de 3 édifices religieux : au sud, Saint-Georges, quartier d'artisans; au centre, Saint-Jean, quartier du haut clergé et de l'aristocratie; au nord, Saint-Paul, quartier de la grande bourgeoisie, centre financier et commercial. De grandes familles de banquiers et commerçants italiens s'y sont établies, faisant construire de somptueuses demeures.
En 1960, le Vieux Lyon était en triste état. De nombreux bâtiments étaient menacés et des projets d'urbanisme prévoyaient destructions et mutilations. Grâce à l'action de l'Etat (André Malraux, Ministre de la Culture), d'une association "la Renaissance du Vieux Lyon" et de la Ville, le Vieux-Lyon fut premier quartier français "secteur sauvegardé" en 1964.

* La rue Saint Jean, longue de 368 m, et place Saint Jean 2548 m².

 


* La Maison Turquet, impasse Turquet à St-Georges, la plus vieille maison de Lyon, (1524), avec balcons en bois
* La Maison Mauresque, angle quai Fulchiron et av A. Max, la plus récente du Vieux-Lyon, construite par Pierre Bossan en 1845.
* Un escalier sans noyau, 10 rue Lainerie
* L'Hôtel Bullioud : dans la cour, galerie à trompes de Philibert Delorme, 8 rue Juiverie.
* L'Hôtel du Gouvernement, 2 place du Gouvernement
* L'Hôtel Laurencin : escalier à vis, 24 rue St-Jean
* L'Hôtel Paterin ou Maison Henri IV, 4 rue Juiverie
* La Maison Antoine Groslier de Servière, 11 rue Juiverie
* La Maison Baronat, 22 rue Juiverie
* La Maison du Chamarier : puits et son lavabo de Philibert Delorme, 37 rue St Jean
* La Maison du Crible avec la Tour Rose, 16 rue du Boeuf
* La Maison Dugas ou Maison des Lions, 23 rue Juiverie
* La Maison Le Viste, 27 rue St Jean
* La Maison de Mourguet, 2 place St Paul
* La Maison Thomassin, 2 place du Change

La cathédrale Saint-Jean

La cathédrale fut construite de 1180 à 1480, elle mesure 79 m de long, 26 m de large, 32 m de haut (voûte principale). Sa façade date du début du XIV° siècle. La grande rose de 1392, oeuvre de Jacques de Beaujeu mesure 8 m de diamètre.

L'horloge astronomique, construite en 1598 par Nicolas Lippius, sonne à 12h, 14h, 15h et 16h.

L'orgue, acheté en 1842 par cardinal de Bonald, se composait de 15 jeux, au fond du choeur. En 1936, il est porté à 50 jeux et placé dans le transept sud (édifice national).

La cloche, fondue en 1622, est l’une des plus importantes connues, de 8 à 9 tonnes et 2m19 d’envergure. Ce bourdon nommé Anne-Marie de la Primatiale est mis en mouvement uniquement lors de grandes solennités (10 à 15 fois par an, dont le 8 septembre pour le voeu des échevins).

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Au bord de la Saône, la justice est rendue depuis le Xe siècle...

C’est le Palais de Justice historique de Lyon, qui étale sa majestueuse façade néo-classique ornée de 24 colonnes corinthiennes, sur les bords de la Saône dans le Vieux-Lyon. 

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On  arrive sur la Presqu'île, La Place des Célestins et son théâtre à l’Italienne est une de mes préférées.

 

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On s'offre une balade shopping à travers les boutiques chics du Carré d’Or, et on arrive à la Place des Jacobins 

 

Place des Jacobins

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La fontaine fut réalisée en décembre 1885 par Gaspard André (1840-1896) à qui nous devons également le théâtre des Célestins. En marbre blanc, elle représente Philibert Delorme ou de l'Orme, Guillaume Coustou, Gérard Audran et Hippolyte Flandrin.

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On gagne la rue de la République (rue de la Ré pour les intimes !) très haussmannienne, jusqu’au Palais de la Bourse, puis jusqu’à l’Opéra, avec son dôme redessiné par Jean Nouvel, face à l’Hôtel de Ville.

 

La Bourse

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Le palais de la Bourse ou palais du Commerce est un édifice situé dans le 2e arrondissement de Lyon. Il abrite actuellement le siège de la Chambre de commerce et d'industrie de Lyon.

Il est bordé par la place des Cordeliers au sud, la place de la Bourse au nord, la rue de la République à l'ouest et la rue de la Bourse à l'est.

L'édifice fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le .

L'Opéra

L’opéra de Lyon est une salle d’opéra de la ville de Lyon.

Il est situé place de la Comédie, en face de l'hôtel de ville. Construit en 1831 par Antoine-Marie Chenavard et Jean-Marie Pollet, il a été totalement restructuré et agrandi entre 1989 et 1993 par Jean Nouvel. Le projet architectural fut lauréat du prix de l'Équerre d'argent du Moniteur en 1993.

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Restauration

Nous avons déjeuné au Café-Restaurant le 203 que je vous reccommande vivement pour sa cuisine de grande qualité.

Le financier...un véritable délice....

La Place des Terreaux

La place des Terreaux, sur laquelle est située la fontaine Bartholdi, a une superficie de 7000 m². Installée vers 1625 sur les anciens fossés des fortifications de la Lanterne, elle a été utilisée comme lieu d'exécution capitale et comme marché aux porcs.

Lyon 1er

Considérée par les lyonnais comme la plus belle place de Lyon, elle possède des atouts indéniables.

Considérée par les lyonnais comme la plus belle place de Lyon, elle possède des atouts indéniables.

Le nom "terreau" signifie boue, terre de remblai. A l'époque romaine, un terrain boueux coupé de grands fossés occupait la place actuelle, d'où son nom. Ce terrain devint place publique pavée à partir du XVII°. La place est bordée à l'est par l'Hôtel de Ville, au sud par le musée des Beaux-Arts, au nord par une rangée de bâtiments marquant le début des pentes de la Croix-Rousse. Sa superficie est de 7000 m². Elle fut installée vers 1625 sur les anciens fossés (d'où son nom) des fortifications de la Lanterne, seul espace disponible du quartier, alors utilisé pour les exécutions capitales et comme marché aux porcs.
Rénovée par les architectes Christian Drevet et Daniel Buren en 1992 qui déplacèrent la fontaine Bartholdi et ajoutèrent sur la place 69 fontaines constituées chacune d'un bassin de granit noir.
Elle sera rénovée à partir de novembre 2018 et ce jusqu'à fin 2019.

Un café pour faire une pose place des Terreaux

Une pause café, place des Terreaux 

 

Hôtel de Ville de Lyon

L’Hôtel de Ville fut construit de 1646 à 1672 par l’architecte lyonnais Simon Maupin et Girard Desargues. Détruit par un incendie en 1674, il fut reconstruit de 1700 à 1703 par Jules Hardouin Mansart. Il abrite un décor peint et sculpté exceptionnel.

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Faisant face à l'Opéra et donnant sur la place des Terreaux, l'Hôtel de ville, plusieurs fois ravagé par le feu, est aujourd'hui l'un des monuments les plus remarquables de Lyon.

L'édifice est construit de 1646 à 1672 par l'architecte de la ville, Simon Maupin. La place des Terreaux devient alors le centre administratif de Lyon. L'édifice s'organise autour de deux cours, dont l'une est surélevée et de quatre pavillons d'angle avec un beffroi enserrant la cour d'honneur. L'intérieur richement orné en fait un modèle de décoration.

L'hôtel de ville est détruit en parti en 1674 par un incendie. Le roi fait appel à Jules Hardouin-Mansart pour dessiner les plans du nouvel Hôtel de Ville.

Pendant la Révolution française, la salle du consulat se transforme en tribunal révolutionnaire. En 1792, les tableaux représentants les échevins et les prévôts des marchands sont détruits par la nouvelle municipalité souhaitant effacer toute trace de l'ancien consulat.

Le 14 juillet 1803, un second incendie détruit le bâtiment qui sera complètement rénové sous le Second Empire.

Aujourd'hui l'Hôtel de Ville accueille dix fois par an le conseil municipal.

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Chapelle de l'Hôtel Dieu

La chapelle de l’Hôtel-Dieu est un édifice d’influence baroque construit sous Louis XIII, l’un des seuls édifices construits dans ce style à Lyon, avec la chapelle de la Sainte-Trinité du Lycée Ampère et Saint-Bruno des Chartreux. C’est une chapelle hospitalière accolée à l’ancien Hôpital du même nom (reconverti depuis en centre commercial) ; historiquement dépendante de ce bâtiment et gérée par les sœurs hospitalières à l’époque où les hospices étaient encore en fonction. Ouverte sur la ville, elle a conservé sa vocation originelle d’accueil du public et de célébrations religieuses.

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Le Musée des Beaux-Arts

Le musée des Beaux-Arts de Lyon est un musée municipal situé sur la place des Terreaux à Lyon (France) dans l'abbaye de Saint-Pierre-les-Nonnains, plus connu sous le nom de palais Saint-Pierre.

Voulu dès le xviiie siècle par les élites lyonnaises, il est formalisé pendant la Révolution française, fondé officiellement en 1801 et ouvert en 1803. Durant le xixe siècle, il partage ses locaux avec l'École des beaux-arts de Lyon et ses collections contiennent de nombreuses pièces archéologiques ou historiques. Deux particularités donnent une orientation particulière au musée à cette époque : un salon des fleurs, destiné aux dessinateurs de l'industrie soyeuse locale et des salles vouées à l'accrochage de tableaux de peintres lyonnais. Cette priorité donnée à l'acquisition d'œuvres d'artistes locaux n'empêche pas le musée de s'enrichir d'œuvres prestigieuses, telle La Lapidation de saint Étienne, premier tableau connu de Rembrandt.

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Le parc de la Tête d'Or

Situé sur les bords du Rhône, le Parc de la Tête d’or couvre une superficie de 105 hectares. Il est accessible par 7 entrées, dont la plus remarquable est la porte des Enfants du Rhône qui ouvre sur la perspective d’un lac de 16 hectares, centre de la composition paysagère. Gratuit, il demeure aujourd’hui l'un des plus grands et plus beaux parcs urbains de France.

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Le nom vient de la tradition selon laquelle un trésor avec une tête de Christ en or y aurait été enfoui, provenant de la colonie juive persécutée sous Philippe le Bel.

Le réalisateur du Parc est le paysagiste suisse Denis Bühler. En quatre ans, il donne sa physionomie actuelle à l'ensemble, ouvertement inspiré du Bois de Boulogne et des jardins anglais. Des travaux gigantesques sont menés, comme le creusement du lac par les chômeurs engagés par la municipalité. Tony Garnier apporta de la modernité en créant en 1904 et 1912 la vacherie du Parc, influencée par l'art nouveau.

VISITER LYON

AUTREMENT

Il existe de multiples façons de partir à la découverte de Lyon et sa région.
Sur terre ou sur l’eau, à vélo électrique ou segway. En tuk-tuk, bus, tram ou même en minicar à travers les vignobles.
En mode romantique, gourmand, original ou tonique, choisissez la vôtre !

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